LAFRANE propose un traitement des bio déchets sur place par une méthode simple et économique.
Seul 1/10e du poids initial reste à traiter.
Les entreprises sont sensibilisées à la gestion et à la valorisation de leurs déchets – plus particulièrement les déchets alimentaires. Elles mettent en place une politique très volontaire de réduction et valorisation des déchets.
Tous les acteurs économiques publics et privés sont concernés
(entreprises, fédérations, associations, etc).
Les objectifs sont multiples :
• Suivre les réglementations sans cesse renforcées concernant la gestion des bio-déchets
• Améliorer la maitrise du coût de cette gestion
• Valoriser auprès du public et des clients leurs images de marque (politique RSE)
Les clients partenaires peuvent s’appuyer l'expertise de Lafrane, grâce à sa gamme
complète de produits. Cela en fait un acteur incontournable sur le marché.
Notre société vous propose une solution complète :
• Pour maîtriser vos coûts de transport
• Pour lutter contre les nuisances olfactives
• Pour être en conformité avec la loi.
Que dit la réglementation ?
La lutte contre le gaspillage est une priorité renforcée par la loi n° 2020-105 du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire (AGEC).
Concernant le gaspillage alimentaire, toutes les étapes de la chaîne alimentaire, production, transformation, distribution et consommation, participent aux pertes et gaspillages.
La loi AGEC, fixe comme objectif de réduire le gaspillage alimentaire de 50% par rapport à son niveau de 2015 à l’horizon 2025 dans les domaines de la distribution alimentaire et de la restauration collective, et à l’horizon 2030 dans les domaines de la consommation, de la production, de la transformation et de la restauration commerciale.
L’appel à projets national du plan national alimentation (PNA) lancé chaque année à l’initiative du ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation et soutenu par l’ADEME pour développer des projets fédérateurs, démultipliables ou exemplaires permet de soutenir les projets relatifs à l’approvisionnement de la restauration collective, la réduction du gaspillage alimentaire et la lutte contre la précarité alimentaire. En 2021 l’ADEME a publié une étude sur les 12 principaux secteurs d’activité révélant qu’en moyenne la part des invendus représentent plus de 4 milliards de valeur marchande.